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Cyber Booster change d’échelle.

En 4 ans, 51 startups accompagnées, 10 pour la promo 2025-2026, et 92 % de taux de survie.

Ces résultats ne viennent ni de la chance, ni d’un modèle protecteur.
Ils viennent d’un choix clair : exiger de la lucidité stratégique, de la maturité business et une discipline entrepreneuriale élevée, dès les premières phases.

En cybersécurité, l’excellence technologique ne suffit pas.
Ce qui fait la différence dans la durée, c’est la capacité des fondateurs à comprendre leur marché, à décider vite et à exécuter avec rigueur.
C’est cette exigence qui nous permet, aujourd’hui, d’assumer une ambition renforcée sur 2026–2027, et surtout de la traduire concrètement.

Concrètement, cela signifie :

 →  Renforcer l’amont, en allant chercher les projets plus tôt, en sensibilisant davantage les porteurs de projets, les doctorants et post-doctorants, pour faire émerger des projets plus solides dès l’origine.
 →  Faire évoluer le cœur du programme, avec un accompagnement toujours plus exigeant, orienté clarté stratégique, maturité business et capacité d’exécution.
 →  Mieux adresser l’aval, en renforçant l’accélération des startups prêtes à passer à l’échelle.

Dès avril, une session immersive de 2 jours dédiée à l’international,
puis le lancement d’un programme “Déploiement à l’international” en partenariat avec l’Institut Mines-Télécom (IMT)

La cybersécurité n’est plus un sujet technique.
C’est un enjeu démocratique, économique et sociétal.
Cyber Booster n’est pas un cocon.
C’est un camp d’entraînement pour dirigeants.
Changer d’échelle, c’est assumer plus d’exigence — sur toute la chaîne.

Aurélie Clerc et Adrien Savary

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